Dessin de Bernardo Fernàndez, alias Bef, alias l'auteur d'Une saison de scorpions...
Et joyeux Noël (noir) de la part de Moisson (rouge).
mardi 25 décembre 2007
vendredi 14 décembre 2007
dimanche 9 décembre 2007
Motifs
Ce n'est pas parce qu'on n'écrit pas souvent sur ce blog qu'il ne se passe rien chez Moisson rouge — au contraire, ayons un brin de logique, nous manquons de temps mais pas de motifs de nous réjouir. En voici quelques-uns...
- Olivia Castillon a rejoint nos rangs en free-lance et s'occupe désormais de la presse. Et, on le savait déjà mais depuis qu'elle est là c'est manifeste, sans attachée de presse, dans l'édition, on ne fait pas grand-chose (sauf des livres, certes). On en reparle.
- Dans le domaine de la communication toujours, les frères Paoli, Hector et Benjamin, ont travaillé sur la mise à jour de notre joli site internet. Plus de couvertures et plus d'informations sur nos auteurs (et bientôt leur photo).
- Et puis si tout va bien, vendredi prochain, en photo ici, notre premier livre (on ne se lasse pas de le dire, mais il paraît le 17 janvier). Le vrai. L'objet. En papier et en encre.
Indices :
expérience extrême,
Moisson rouge,
Ovejero,
presse
samedi 1 décembre 2007
Calor y agua
Après plusieurs semaines dans la froidure et la sécheresse du Ve arrondissement, sans gaz ni eau, nous, pauvres éditeurs, pouvons enfin travailler dans des conditions décentes: nous avons le chauffage et l'eau courante.
Donc grâce à cette amélioration sensible, je (Judith V.) viens enfin de terminer Des vies parallèles, de José Ovejero et... évidemment, je ne dirai rien (sauf que c'est formidable) et comme je suis sympa, je vous offre la quatrième de couverture:
DES VIES PARALLÈLES
(Traduit de l'espagnol par Marianne Millon)
Bruxelles. Un puissant homme d’affaires ; son avocat et homme de main ; une mère célibataire désespérée ; un immigré congolais au passé louche ; deux chiffonniers qui vident les maisons des morts. Dans l’une d’elles, ces derniers découvrent une vieille photographie surgie du passé colonial sur laquelle des Blancs posent fièrement. Derrière eux, des mains de Noirs coupées. Au verso, des noms. Des mondes qui s’ignorent, des vies parallèles qui n’auraient jamais dû se croiser et vont s’entremêler tragiquement.
Ce roman a obtenu le prix Primavera 2005 en Espagne.
Né à Madrid en 1958, José Ovejero a passé plusieurs années en Allemagne avant de s’installer à Bruxelles. Il partage aujourd’hui sa vie entre la capitale belge et Madrid. Il a publié plusieurs romans, des nouvelles, des pièces de théâtre, des poèmes et des récits de voyage. Des vies parallèles est son premier livre publié en France.
Donc grâce à cette amélioration sensible, je (Judith V.) viens enfin de terminer Des vies parallèles, de José Ovejero et... évidemment, je ne dirai rien (sauf que c'est formidable) et comme je suis sympa, je vous offre la quatrième de couverture:
DES VIES PARALLÈLES
(Traduit de l'espagnol par Marianne Millon)
Bruxelles. Un puissant homme d’affaires ; son avocat et homme de main ; une mère célibataire désespérée ; un immigré congolais au passé louche ; deux chiffonniers qui vident les maisons des morts. Dans l’une d’elles, ces derniers découvrent une vieille photographie surgie du passé colonial sur laquelle des Blancs posent fièrement. Derrière eux, des mains de Noirs coupées. Au verso, des noms. Des mondes qui s’ignorent, des vies parallèles qui n’auraient jamais dû se croiser et vont s’entremêler tragiquement.
Ce roman a obtenu le prix Primavera 2005 en Espagne.
Né à Madrid en 1958, José Ovejero a passé plusieurs années en Allemagne avant de s’installer à Bruxelles. Il partage aujourd’hui sa vie entre la capitale belge et Madrid. Il a publié plusieurs romans, des nouvelles, des pièces de théâtre, des poèmes et des récits de voyage. Des vies parallèles est son premier livre publié en France.
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