Après plusieurs semaines dans la froidure et la sécheresse du Ve arrondissement, sans gaz ni eau, nous, pauvres éditeurs, pouvons enfin travailler dans des conditions décentes: nous avons le chauffage et l'eau courante.
Donc grâce à cette amélioration sensible, je (Judith V.) viens enfin de terminer Des vies parallèles, de José Ovejero et... évidemment, je ne dirai rien (sauf que c'est formidable) et comme je suis sympa, je vous offre la quatrième de couverture:
DES VIES PARALLÈLES
(Traduit de l'espagnol par Marianne Millon)
Bruxelles. Un puissant homme d’affaires ; son avocat et homme de main ; une mère célibataire désespérée ; un immigré congolais au passé louche ; deux chiffonniers qui vident les maisons des morts. Dans l’une d’elles, ces derniers découvrent une vieille photographie surgie du passé colonial sur laquelle des Blancs posent fièrement. Derrière eux, des mains de Noirs coupées. Au verso, des noms. Des mondes qui s’ignorent, des vies parallèles qui n’auraient jamais dû se croiser et vont s’entremêler tragiquement.
Ce roman a obtenu le prix Primavera 2005 en Espagne.
Né à Madrid en 1958, José Ovejero a passé plusieurs années en Allemagne avant de s’installer à Bruxelles. Il partage aujourd’hui sa vie entre la capitale belge et Madrid. Il a publié plusieurs romans, des nouvelles, des pièces de théâtre, des poèmes et des récits de voyage. Des vies parallèles est son premier livre publié en France.
samedi 1 décembre 2007
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5 commentaires:
Ouais! Je confirme, formidable.
Ai-je assez dit que je suis ravie et fière, oui, fière de l'avoir préparé?
Et nous de le publier...
Vivement janvier, n'est-ce pas?
Et moi fier d'avoir fait le gaubithouine entre l'éditrice du siècle et lui, sous le ciel changeant de Gijon, un été 2006
Et moi ravie et fière de cet été-là.
Bon ben on est tous ravis et fiers.
"Elle est pas belle, la vie?" (aaaargh)
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