lundi 30 mars 2009

Un dahu, un pirate et des ogres

Carlos Salem sous un dahu — une compagnie qui n'étonnera pas spécialement les lecteurs d'Aller simple, roman sans dahu mais avec une finale de coupe du monde entre le Maroc et l'Espagne qui, pour reprendre les mots de l'auteur, permet de classer ce livre en science-fiction.

Le même, sans dahu mais clopant avec le charmant Iain Levison devant un bouchon lyonnais. Pour digérer les douze entrées et le tablier de sapeur. Rude vie. (Signalons que Télérama nous a copiés et a mis en ligne la même photo.)


Toujours lui, sur le stand d'Au bonheur des ogres (merci à eux !), devant la pile de ses livres qui diminuait à grande vitesse...

Et enfin Carlos Salem, tel qu'il s'est présenté au public (nombreux) de Quais du polar :
À 10 ans j’ai commencé à lire sans m’arrêter. À 15 ans, j’ai commencé à suivre les femmes sans m’arrêter. À 29 ans je me suis mis à écrire, sans arrêt (sauf pour continuer à poursuivre les femmes) jusqu’à écrire 9 romans dont 3 ont été publiés. En décembre, j’ai commencé le dixième à moins que je rencontre une femme…
Un livre : Je ne vous dis pas adieu de Osvaldo Soriano.
Un film : Le Faucon maltais.
Un auteur : Raymond Chandler.

Signalons aussi l'existence du blog de Carlos Salem, El huevo izquierdo del talento, c'est-à-dire La couille gauche du talent. Ça valait le coup de le mentionner, donc.

1 commentaire:

JML a dit…

A signaler que Carlos Salem participe également au blog de 10 auteirs (dont l'inévitable Taibo) les dix petits nègres (ou en VO Diez negritos)

http://dieznegritos.latinoir.com/principal.htm