Un peu plus sur le festival bientôt car sachez que l'effet Semana Negra est lent à se dissiper. Pour notre plus grand bonheur.
lundi 28 juillet 2008
Pour vous donner une idée...
Un peu plus sur le festival bientôt car sachez que l'effet Semana Negra est lent à se dissiper. Pour notre plus grand bonheur.
samedi 19 juillet 2008
Exclusivite Moisson rouge...
Alors a defaut des merveilles promises dont les lettres accentuees et les intervious, et puisqu il se passe toujours quelque chose (c est peu de le dire) a la Semana Negra, j ai le plaisir et l honneur de vous annoncer tres officiellement la naissance de la collection Semana Negra Moisson rouge. Elle regroupera des textes choisis par Paco Ignacio Taibo II d auteurs invites a la Semana Negra. Bientot en ligne, une note expliquant l esprit de la Semana Negra dont on verra qu il ressemble fort a celui de Moisson Rouge...
dimanche 13 juillet 2008
Primeras noticias de la Semana Negra
Sur quoi je file au festival mediter sur l ingratitude de la vie d editeur...
mardi 8 juillet 2008
Lire moissonne l'été
Pour ceux qui lisent en biais, un article du magazine Lire sur le magnifique Crépuscule des stars de Robert Bloch (Moisson rouge/Alvik, 14,50 euros).
Retour à Gijón

Demain la moitié de l'équipe de Moisson rouge (moi), bientôt rejointe par la seconde (Hector), s'envole pour Gijón, Asturies, où a lieu la vingt et unième Semana Negra, grandiose fiesta du livre imaginée par Paco Ignacio Taibo II. Au programme, des auteurs, des libraires, des conférences sur le noir, évidemment, mais aussi une grande roue, un journal vendu à la criée, des lectures de poésie, à manger et à boire, une foule de festivaliers et la plage. On fait vraiment un dur métier et pour vous le prouver, une chronique quotidienne en direct de nos vac... de la mine.
vendredi 4 juillet 2008
Le puzzle noir de José Ovejero (Le Monde des livres)

Rares sont les écrivains dont l'écriture impose sa logique et son espace au-delà du goût établi - exactement comme l'Espagnol José Ovejero, que les lecteurs découvriront dans Des vies parallèles, le premier de ses romans traduit en français.
Eloigné de son pays de naissance depuis vingt-cinq ans, Ovejero, voyageur infatigable, a fait du monde entier son territoire littéraire. Ceux qui attendent des sujets spécifiquement "espagnols" seront déçus. Des vies parallèles se passe dans un Bruxelles transformé en carrefour d'intérêts économiques et politiques, mais aussi en bouillon de culture où grouillent ambitions, misères et désespoirs. Bureaucrates et immigrés, anciens tortionnaires et justiciers opportunistes, les personnages de ce roman incarnent une diversité de points de vue qu'Ovejero développe avec maestria comme autant de pièces d'un puzzle composant une réalité qui se cache derrière les apparences.
La suite de l'article de José Manuel Fajardo sur le site du Monde.
José Ovejero, Des vies parallèles, Moisson rouge.
