par Christophe Dupuis (http://www.entre2noirs.com/)
"Le pays où la mort est moins chère" compile 20 années de nouvelles noires écrites par Thierry Marignac qui dans un avant-propos signale l'ordre dans lesquelles il a agencé tout ça (rien n'est laissé au hasard) pour donner de la cohérences à cet excellent recueil. Entrée en fanfare avec la première partie "Poursuite" et la première nouvelle, "9'79" menée tambour battant, speed, speed, tout comme B.J le narrateur, complètement excité par ce qu'il prend... Une sacrée prouesse stylistique qui vous embarque complètement. Tout ce poursuit avec "Sans cœur ni couronne", récit musclé et rythmé lui aussi en parfaite adéquation avec cette histoire vue en "caméra subjective"... Nous n'allons pas passer toutes ces bonnes nouvelles au crible, sachez que les univers sont très variés et le style précis et adapté à l'histoire. Vous regretterez que certaines ne soient pas des romans ("Aussi mort que Napoléon"), vous trouverez de belles tranches de vie ("Fille perdue"), de sacrés morceaux ("500 francs") et bien d'autres choses. Bravo à Moisson Rouge d'avoir compilé ces textes (la France est toujours aussi réticente à la nouvelle) et à Thierry Marignac de les avoir écrits.
"Le pays où la mort est moins chère" compile 20 années de nouvelles noires écrites par Thierry Marignac qui dans un avant-propos signale l'ordre dans lesquelles il a agencé tout ça (rien n'est laissé au hasard) pour donner de la cohérences à cet excellent recueil. Entrée en fanfare avec la première partie "Poursuite" et la première nouvelle, "9'79" menée tambour battant, speed, speed, tout comme B.J le narrateur, complètement excité par ce qu'il prend... Une sacrée prouesse stylistique qui vous embarque complètement. Tout ce poursuit avec "Sans cœur ni couronne", récit musclé et rythmé lui aussi en parfaite adéquation avec cette histoire vue en "caméra subjective"... Nous n'allons pas passer toutes ces bonnes nouvelles au crible, sachez que les univers sont très variés et le style précis et adapté à l'histoire. Vous regretterez que certaines ne soient pas des romans ("Aussi mort que Napoléon"), vous trouverez de belles tranches de vie ("Fille perdue"), de sacrés morceaux ("500 francs") et bien d'autres choses. Bravo à Moisson Rouge d'avoir compilé ces textes (la France est toujours aussi réticente à la nouvelle) et à Thierry Marignac de les avoir écrits.
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